Guerre 14-18 Création février 2023

Une génération dans la guerre

xixe
xxe
Officier de carrière, est à la tête du 18e régiment d’artillerie avec qui il se fera prendre comme tout le 17e Corps d'Armée dans la désastreuse affaire de Bertrix. Sa réputation entachée, il passera deux années à la tête de l'artillerie de la 33e Division où il s'illustrera. A l'automne 16 à Verdun, Mangin fera, pour quelques jours, appel à lui pour diriger l'artillerie lors de la reprise de Douaumont. En janvier 17, il est promu à la tête de l'artillerie du 18e corps d'armée ce qui va lui donner l'occasion de briller en permettant devant Craonne la seule offensive réussie lors de la désastreuse offensive du Chemin des dames. Pour cela, il deviendra Commandeur de la Légion d'Honneur. Promu général en septembre 17, il rejoint le général Herr à l'inspection de l'Artillerie lourde où il terminera la guerre.
Gilles Merlat
Agé de 48 ans, il n'est pas mobilisable
Yves de Kermabon – Epoux de Denise
Tué le 20 septembre 1914 sur le plateau de Craonne
Jeanne de Langautier – sœur de Louis
Basile qui l'a croisée enfant se rappelait en 2020 qu'elle avait fait la guerre de 14 en tant qu’infirmière et qu'elle racontait parfois des choses assez dures
Louis de Langautier
Officier de réserve, il sera affecté, compte tenu de son âge (36 ans) et de ses compétences, à l'état-major du 16e corps d'armée où il passera la quasi-totalité de la guerre ; en 14 il suivra les combats autour de Nancy puis à Ypres, autour de Soisson en 16, à Verdun en 17 et enfin devant Belfort ; à l'armistice sera nommé administrateur militaire de la Reich Bank à Nancy ce qui sera valorisé par la Banque de France à son retour.
Philippe Guillou – frère de Robert
Officier de carrière, quatre citations et deux blessures.
Denise de Langautier – sœur de Louis.
Infirmière
Marie-Anne Alfroy – sœur de Geneviève
Infirmière
Robert Guillou
Réformé pour handicap raison aussi de son décès à 57 ans
Geneviève Alfroy
Infirmière
Henriette de Bonne
Infirmière
Commence la guerre dans l'artillerie en charge de Canevas de Tir, en 1917 se retrouve simple soldat dans un régiment de chasseur alpins où il ne restera pas après qu'il eut été constaté qu'il était sourd d'une oreille. Il est alors envoyé suivre une formation pour devenir officier artilleur et ne rejoindra le front qu'à l'automne 1918 ou il recevra le 4 novembre 1918 la Croix de guerre avec citation à l'ordre de l'Armée. Emile sera à nouveau mobilisé en 1940.

En application de la Loi Mourrier du 10 août 1917 pour rendre plus juste les affectations aux unités combattantes en faisant la chasse aux embusqués.

Jean Coderch - cousin proche de Prosper
Valentin Cabanat – cousin germain de Prosper
Prosper Tailleur
Fantassin
Artilleur
Commence par deux années en Argonne qu'il terminera à Verdun lors de la reprise de Douaumont, l'année 1917 au Chemin des Dames et l'année 1918 dans les Chasseurs Alpins, troupe de choc. Il reviendra de ces quatre années en première ligne avec le grade de Lieutenant, quatre étoiles sur sa Croix de Guerre, la Légion d'Honneur remise sur le champ de bataille et une blessure. Prosper sera à nouveau mobilisé en 1940, il obtiendra une nouvelle citation.
Marcel Rouis – frère d'Yvonne
Précisions à venir
André Rouis – frère d'Yvonne
Comme médecin militaire
Yvonne Rouis

Infirmière
Geneviève de Bonne, sœur d'Henriette
Trop jeune pour la guerre de 1914, commence en 1940 comme simple laborantine dans un hôpital, à l'armistice elle poursuit dans les service sociaux, d'abord à l'hôpital puis au Secours National et enfin dans les prisons où elle s'occupera à l'épuration des collabos.