J'ai attribué ces écrits à Jules et je n'ai pas beaucoup de raisons de douter.
Jules y a manifestement consacré beaucoup de temps, pour un résultat que nous ne savons mesurer.
J'en ai seulement transcrit une toute petite partie parce que le déchiffrage est pénible, les textes très longs et en très grand nombre.
Attendons de voir si cette page va l'aider à trouver un nouveau lectorat.
Hubert (2025)
à qui sert la monnaie, le numéraire, si… à être le véhicule… entre divers cityoens,… de mesure en comparaison,… sur la valeur de la marchandise brute non sur… fabriquée, et sur le temps employé à le fabriquer, à la produire, à le vendre ? Si tu a fais le travail en comptant dit-on le… ? Mais ne fait-il pas en comptant avec la lettre de change ? n'est-ce pas une absurdité ? Ou plutôt… si on avait des lettres de change acceptables partout, …
comme l'homme par intérêt, par passion, par… , par sa constitution aussi ne voit jamais que le présent ce qui l'affecte actuellement, ne manquerait ou pas de se récrier qu'on abandonne son destin… ses destructeurs de… qui vivent que par les deu classes, et intervient la haute b. , retirerait leur or, … comme si nous ne pouvons pas nous en passer.
Le devoir d'un gouvernement et de travailler au bonheur de sa cité, de boucher.. directement le bien-être ?
Citoyen,
De même que le père de famille, plein de sollicitude pour les siens, abat la maison où les pères, quand l’édifice miné par le temps menace ruine ; ainsi le peuple français, voyant la corruption comme un poison mortel et destructeur s'infiltrer dans tous ses membres, c'est armé de la raison puissante et la volonté de fer à renverser cet édifice social basé sur le mensonge propagé, soutenu par le népotisme le plus éhonté.
Ce gouvernement honteux que nous avons balayé du noble sol de France a-t-il emporté dans sa chute un seul regret, a-t-il inspiré un seul dévouement généreux ? Non, cela devait être ainsi. L'amour ardent ne s'entend pas au poids de l'or. La conviction ne nait pas avec l'égoïsme. Puissance de la vérité ! Puissance de la raison ! A vour d'enfanter cet élan si sublime, si spontané du peulpe français.
A vous Parisiens nos frères, la Gloire de déblayer le terrain de la révolution en le fécondant de votre sang généreux. A vous donc aussi de continuer leur œuvre, Citoyens, cette oeuve si grande de la régénération française, consacrons là aujourd'hui par un signe palpable qui mette constamment sous nos yeux cette devise éternelle : Liberté, Egalité, Fraternité. Longtemps voilée et toujours vivante, au fond de nos cœurs, qu'elle guide notre raison, qu'elle réchauffe notre âme.
Pourrait-il en être autrement, citoyens, puisque cet arbre de liberté élevé sur nos places rapelera encore et constamment à votre souvenir, l'avenir du grand citoyen, notre commissaire général au milieu de vous, rapellera se parole si éloquente et si chaleureuse qui nous a été donné d'entendre.
Est-ce que d'élever cette sublime devise, de l'entoure de notre affection, nous, Citoyens, il faut en faire triompher les principes sacrés et immortels par l'avenir de notre droit.
L'exercice de notre droit, je veux dire, par notre vote, nous touchons aux élections que chacun de nous se pénètre de ses devoirs, que chacun de nous dans le recueillement de la conscience ne nomme pour député à l'Assemblée nationale, que ceux dont les pensées, dont les actions constantes ont voulu hier, veulent aujourd'hui, voudront demain le triomphe de notre belle devise, liberté, égalité, fraternité.
Il est un parti, qui n'a rien appris, qui n'a rien oublié. Ce parti s'agite. méfiez-vous en défiez-vous de ces paroles. Elles sont mensongères, s'ils s'entourent de nos brillantes couleurs, s'il a constamment sur les lèvres, les mots de liberté, égalité, fraternité. C'est pour mieux voiler ses pensées les plus intimes, son culte le plus cher, le retour à la monarchie insensée. Il ne voit point que la royauté ne peut plus vivre sur notre terre de liberté. Il ne voit point que la royauté traîne à sa suite le sanglant cortège des discordes et des guerres civiles.
Et vous, ministre de Paix, qui vous agitez dans l'ombre pour le triomphe de ce parti, qui mettez à son service les choses les plus sacrées de votre ministère, ne savez-vous pas que votre règne n'est de ce monde ? Votre botanique est le Royaume des cieux, retirez-vous dans vos temples, ne faites pas confondre votre titre de citoyen avec celui de conspirateur, car alors tout prestige sacré et divin disparaîtrait de vos sanctuaires.
Armons-nous de défiance citoyens, cela aussi se disent républicains. Méfions-nous encore des soutiens du gouvernement déchu. Et quoi ? Déserteur de nos camps, vous avez abandonné nos principes, ces principes d'égalité, de liberté et de fraternité. Vous avez préféré l'égoïsme au noble élan du cœur, l'or à la charité, quelques vanités honteuses à la gloire véritable. Hier encore c'était notre devise et aujourd'hui vous criez bien haut que vous êtes républicain, aussi républicain que nous. Nous ne vous croyons pas.
Car si vous l'étiez véritablement cette Or et cette gloire, vous les auriez déposées sur l'autel de la patrie en. Vous écriant ? Du plus profond de votre âme, frère, j'ai péché, frère, miséricorde.
Loin de là. Honneur, richesse vous ont. Vous garderez tout. Vous voulez cette miséricorde arrière, pêcheurs endurcis que vous êtes, sinon les loups couverts de la peau de l'agneau. Pour vous vautrer encore. En août. Emmenant avec vous. Cette marque infecte de corruption et de mensonge
Citoyen, tels sont nos ennemis, il suffit de les faire connaître pour les… Ils ne sont puissants que par leur astuces. Poursuivons-les démasquons les. Chassons-les, à ce prix seul et le salut de la patrie.
Vive la République.
Du reste et comme conclusion le décret du 7 août 1848 dans son arrêté 11 ne dit pas que vous devez choisir mais bien désigner et il est logique car notre travail se borne à désigner seulement ceux qui ont été triés par les articles 2.3.4.5 du même décret.
Je crois vous avoir suffisamment démontré l'impossibilité de la mise en pratique des règles que vous a tracé le citoyen préfet ; ainsi que la fausse route où elles vous engagent d'un manière infaillible, je veux dire l'arbitraire.
Je me plais à croire n'a en d'autres préoccupations en vous adressant la circulaire que cesse de nous indiquer le moyen infaillible de composer un jury le plus parfait possible. Mais s'il en était autrement et que la pensée… qui a dictée la lettre, prit sa source dans les errements du dernier gouvernement qui a tout corrompu, tout faussé en France, ou alors, il serait coupable, très coupable ; car il viendrait apporter le désordre dans nos institutions, le désordre parmi nous.
La vérification nouvelle est dans nos attributions tracées par l'article 11 ne déleste en rien les maires dans le zèle et l'exactitude apportée à la confection des listes. Vous connaissez d'ailleurs le proverbe, le un vaut mieux que deux.
Arrêter quel nombre de citoyen chaque commune doit fournir sur la liste annuelle du jury, et ce, proportionnellement à la population, c'est en tout point conforme aux principes d'égalité proclamés par la constitution et le décret du 7 avril 1848.
Enfin et conséquemment à ce principe tiré au sort, et par communes, le membre ou les membres qui doivent être inscrits sur la liste annuelle, active, du jury, en ayant soin de ne mettre dans l'urne que les noms des citoyens qui n'ont pas encore été jurés, nous mettons en pratique le principe d'égalité, et nous évitons d'entrer dans cette voie funeste et glissante de l'odieux arbitraire que conseille toujours la passion qui toujours produit le désordre.
En résumé, si vous suivez les règles que nous a tracé le citoyen préfet, nous consacrons l'arbitraire, le privilège, conséquemment nous nous mettons en opposition flagrante avec la constitution.
Mais si nous adoptons la règle de conduite qui est tracée par ma proposition nous évitons le double écueil ; et nous n'assumons point sur vous le terrible reproche de partialité que l'opinion publique pourrait vous jeter tant à la face : nous aurons fait acte d'indépendance et de saine raison, en même temps que nous aurons donné un salutaire exemple au pays.
Les soussignés (nommer les membres), tous membres du conseil municipal agissant tous en leur nom privé que pour et au nom des habitants de la commune de Mourvilles-Hautes dont ils sont tous les mandateurs, considérant que l'autorisation accordée par le citoyen maire au citoyen Beaudéan de placer un travail sur une propriété communale dans la rue (nommer la rue) porte atteinte à la sécurité de libre communication dans le village.
Attendu que le principe général, la propriété d'un objet quelconque se reconnaissant à sa jouissance, conséquemment coupée, la dite jouissance d'un terrain communal sur lequel doit être établi le susdit travail, d'après l'autorisation du citoyen maire impliquerait l'aliénation d'une propriété communale.
Attendu que d'après les lois et réglements qui régissent l'aliénation des biens communaux, au conseil municipal seul appartient la droit de les aliéner.
Attendu que le citoyen maire a outrepassé ses pouvoirs par l'autorisation sus-précitée, protestant de toute notre énergie et contre le placement dudit travail et contre l'autorisation accordée par le maire, réservant tous droits et dommages quelconques à répéter soit contre le maire, soit contre le citoyen Baudéan s'ils persistent dans leur décision de placer le travail que nous considérons comme une usurpation du bien communal.
Et pour qu'aucune des parties ne l'ignorent, avons envoyé cette protestation au citoyen maire, au citoyen Baudéan et au citoyen sous-préfet.
L'ordre est la volonté de Dieu.de Sévigné La citation de Jules est partielle et travestie :
Sur cela il faut faire des actes de résignation à l’ordre et la volonté de Dieu.
DE MADAME DE SÉVIGNÉ À MADAME DE GRIGNAN via Wikisource
L'ordre règne-t-il dans les transactions qui s'effectuent au comptant et à crédit ? Il a été permis d'en douter si l'on considère les ruines et les mots qu'engendrent le monopole, la concurrence anarchique, l'agiotage et l'usure. L'innovation la plus importante des temps modernes est sans contredit le système de crédit. Mais celui qui en conçut l'heureuse idée découvrit-il tous les ressorts qui, combinés entre eux, auraient pu concourir à consolider, à régulariser, à étendre le crédit de manière à ce qu'il devint un moyen de bien-être et de prospérité ? Il est également permis d'en douter.
L'étude sérieuse et approfondie de cette grave question nous a mis à même d'apporter au système de crédit un perfectionnement qui ne laisse aucun doute sur la possibilité de pouvoir réaliser ce ce régime de bien-être et de prospérité, au reste des essais pratiques effectués avec succès à Marseille en ont en fourni la preuve incontestable.
Voici l'énoncé des principales bases d'une association qui aura pour effet de constituer l'ordre dans les transactions.
Cette association sera en commandite chaque action sera de 5 francs. Il y aura des titres de 5, de 10, de 20, de 100, de 200 actions, ainsi que des fractions d'actions d'un franc, de 0,50€ et de 0,05€. La formule des actions sera à peu près la même. Que celle pour les sols sociétés en commandite. Le montant des actions sera versé dans une caisse publique et il est demeurera jusqu'à la dissolution de la société.