Villefranchois de longue date, en voici le détail
Sont indiquées sur la carte de 1824 :
la maison Raffit qui occupe déjà le même emplacement que celui que nous lui connaissons aujourd’hui ;
la Fontasse où se situait la maison Bor ; dans les années 1870, Louis-Guillaume sera contraint de vendre ses terrains pour permettre la construction de la gare. Il y gagnera une rue à son nom et beaucoup plus tard le CinéBor.
Toujours sur le cadastre de 1824 :
En 1838, Louis-Guillaume Bor achètera la métairie du Cimetière à Jacques At, aubergiste de Villefranche et Arnaud At son fils, marchand de bestiaux que la famille étendra par des acquisitions par la suite.
La métairie d’en Gélis appartenait à Henry Raffit qui avait dû l’acheter avant la Révolution.
A vendre, à suite de saisie immobilière,… une métairie dite du Cimetière, située dans la commune de Villefranche,… le tout appartenant au sieur Jacques Ar père, aubergiste et négociant, habitant dudit Villefranche.