Jean-Pierre et Marie Création mai 2014

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Nous savons :


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Source Jean de Langautier

En 1708 à son mariage, il habite à Toulouse où il a commencé son droit. Il ’engage au service du roi pour la guerre. En juin, il se marie.

1709, il achète une maison à Loubens, ruineuse et délabrée, derrière l’église.

Il est mort à la suite d’un mois de maladie.

Extrait de l’acte d’état civil de la commune de La Salvetat, annexe de la paroisse de Saint-Martial , arrondissement de Villefranche, de 1684 à 1760

Elle est devenue paroisse après que Saint-Martial ait été détruite par les Huguenots.

N° 26 – Sépulture de M. de Langautier, âgé de 48 ans. A été enseveli Jean-Pierre d’Auriol de Langautier, habitant de Saint-Martial, époux de Marie de Puybusque, âgé de 48 ans environ, dans l’église de Saint-Martial.

Présents, noble Antoine de Méja et noble sieur de la Génébrières de Puybusque et les deux messieurs de Roques d’Auriac, gentilshommes, lesquels ont dit savoir signer.

6 juin 1708, mariage Langautier - Puybusque

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Mariage, le sieur Langautier et demoiselle de Puybusque

Au nom de Dieu soit fait, amen. Sachez tous présents et advenir que l’an de grâce 1708 et le 6e jour du mois de juin, avant midi, au village de Cambon, dans la maison de feu noble Antoine de Puybusque, sieur de Saint-Padou, diocèse de Lavaur, sénéchaussée de Toulouse, régnant souverain prince Louis, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, par devant moi, notaire royal et témoins constitués en leurs personnes, le sieur Jean-Pierre d’Auriol, sieur de Langautier, fils à feu ledit Jacques d’Auriol et de feu demoiselle de Tiron, habitant de la ville de Toulouse, âgé, comme a dit, de 25 ans, faisant pour soi, d’une part ; et damoiselle Marie de Puybusque, fille du dudit feu Antoine de Puybusque et de dame Jeanne de Negret, habitante de Cambon pour elle, d’autre ; lesquelles parties de leur bon gré ont fait et arrêté les pactes de mariage suivants, savoir que ledit sieur de Langautier, faisant ainsi qu’il a dit, du consentement de ses parents et amis, promet de prendre pour sa femme et légitime épouse ladite demoiselle de Puybusque ; et pareillement, icelle, faisant du consentement et assistance de ladite dame sa mère promet de prendre pour mari et légitime de dit sieur de Langautier

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et arrêté que le mariage sera solennisé en la forme de l’église catholique, apostolique, romaine, quand l’une des parties requerra l’autre ; et pour support des charges dudit mariage, ladite demoiselle fiancée se constitue en dot et donne tous et chacun ses biens et droits paternels qu’elle dit consister en la somme de 500 livres qu’elle consent que ledit sieur son fiancé s’en fasse payer aux héritiers de son feu père lors et ainsi qu’il verra être à faire, à condition que, de la réception il sera [tenu] la reconnaître sur tous et chacun ses biens, en faveur de ladite demoiselle sa fiancée avec le droit d’augment suivant la coutume du présent pays et diocèse de Lavaur ; come aussi a été convenu que, en cas à l’avenir ledit sieur de Langautier recevra aucune autre somme des droits de ladite demoiselle sa fiancée, lesquelles elle se constitue comme dessus, il sera tenu de les reconnaître sur ces biens en faveur d’icelle aussi avec le droit d’augment, comme ceux de la susdite constitution ; l’ayant ainsi convenu et promis l’observer ; que pour se faire, les parties, respectivement comme les concernent obligent leurs biens présents et à venir, qu’on soumis aux rigueurs de justice.

Présents, noble Jean de Puybusque, sieur de Saint-Jean, noble François de Puybusque, frères de ladite demoiselle fiancée, habitants dudit Cambon, noble François de Puybusque, habitant du lieu d’Algans, parent de ladite demoiselle fiancée, Me Jean de Negret, curé de Cambon, et M. Pierre Bousquet, praticien de Roquevidal,

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Soussignés avec ledit sieur et damoiselle fiancés, ladite dame de Negret ne sachant écrire et de moi. Encore présent, André Olivier du consulat de Lastens aussi soussigné ; ledit sieur de Negret, curé, n’ayant pu signer.

1709, Jean-Pierre achète une maison à Loubens

Jean-Pierre Auriol Langautier achète (source à Arnaud Boussaguet marchand… de Lavaur) une maison à Loubens, derrière l’église, confronté d’auta Pezeque, rue allant de l’église à la fontaine del Palais, midi, le patu de l’église,… aquilon patu des d’Auriol.

Pour la somme de 120 livres, quoique la maison soit fort délabrée et ruineuse.

Algans, notaire royal, Lavaur, ce 29 octobre 1709.

1733 – Testament de Jean-Pierre Auriol de Langautier

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Jean-Pierre qui a 52 ans, décédera 11 jours après.

Au nom de Dieu soit fait, amen. Sachez tous présents et à venir que ce jourd’hui, 11 octobre 1735, après-midi, dans le consulat d’Auriac, maison dite de Langautier au comté de Caraman, diocèse de Toulouse, régnant Louis par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, devant nous notaire royal dudit Caraman.

Fut présent le sieur Jean-Pierre Auriol de Langautier, habitant ladite maison, lequel détenu dans son lit, à la salle basse de ladite maison, de maladie corporelle étant sain, son bon sens, mémoire et entendement, craignant d’être surpris par la mort, dont le moment est ici incertain et pour prévenir des différents et procès qui après son décès pourraient naitre entre ses enfants en raison de ses biens et a voulu en disposer et faire son testament en la forme et la manière que suit.

En premier lieu a fait le signe de notre rédemption et a recommandé son âme à Dieu. Le pria de la recevoir en son Saint Paradis, lorsque se séparera de son corps qu’il veut être enterré au cimetière de l’église de la paroisse ou il décédera pour les honneurs funèbres suivants et bon soins, il s’en remet à la discrétion de son héritier sa nommée et vendant à la disposition ses biens.

Déclare ledit testateur que de son mariage avec Marie de Puybusque il a neufs enfants nommés Jeanne, Joseph, Jean-François, Thérèse, Augustin, Marie-Anne,… Barthélémy, Gertrude, Françoise et Henriette Auriol et qu’il donne et lègue à chacun desdits enfants de même quant aux héritiers dont sa dite épouse pourrait accoucher si par cas elle est enceinte.

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La légitime telle que devrait pour leur être payée par l’héritière bas nommée moyennant laquelle légitime ledit testateur fait ses dits enfants et posthumes ses héritiers particuliers et en tout et chacun ses biens,…, noms, métairies, meubles et immeubles. En quoi que le tout consiste et puisse consister, généralement ledit testateur a faite instituer et de sa propre bouche nommé pour son héritière universelle et générale, ladite Marie de Puybusque, son épouse pour par elle après le décès dudit testateur et disposer à tous les… plaisirs et volontés de l’entière hérédité d’icelui testateur.

À la charge néanmoins pour ladite Marie de Puybusque héritière, de rendre à l’hérédité après son décès à tel des enfants males qu’elle trouvera à propos, et laquelle hérédité, celui des enfants mâles que ladite hérédité aura nommé recueillera en l’état qu’elle l’aura laissé… et la charge aussi par ladite héritière de tenir et garder vie… aura encore la liberté, ladite héritière d’avantager au-dessus de sa légitime cet ou tous des enfants qu’elle trouvera à propos et de la manière que bon lui semblera et au moyen, ladite héritière a fait son testament et dernière disposition, cassant, révoquant et annulant tout autre testament, codicille et donation qu’il pourrait avoir ci-devant fait à la réserve du présent qu’il veut être le seul valable soit par testament, codicille et donation que par toute autre forme et manière que de droit pourra valoir comme sa volonté et dernières dispositions

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Et après les témoins bas-nommés,…

Et a prié les témoins bas nommés en être mémoratifs et à nous notaire de le lui retenir. Ce que nous avons fait, et l’en ai relu audit testateur en présence de M. Jean Coutard, prêtre curé du Faget et de noble Jean Revel, prêtre habitant de Toutens, de Me Honoré Imbert docteur en médecine, habitant de Puylaurens, du sieur Jean Vimenet, maître chirurgien du Faget, de Germain Boisset, chirurgien de Loubens, de Pierre Delmas, habitant de Sausses, de Joseph Trabous, laboureur de Vendine.

Signés avec ledit testateur, et nous Me

11 octobre 1735 – Testament de Jean-Pierre Auriol de Langautier – Copie identique

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15 mai 1767, partage entre Jean-Pierre et Jeanne

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L’an 1767, et le quinzième jour du mois de mai, dame Moujoude Langautier, comté d’Auriac du diocèse de Toulouse entre nous soussignés dame Marie de Puybusque notre mère, et nous Jeanne Charlotte Marie Thérèse et moi Joseph d’Auriol de Langautier de Saint Padou, frère et sœurs, désirant tous nous accorder au sujet de la succession de feu notre père ayant fait le substitué pour son héritier, notre mère sous les clauses, les conditions portées par son dernier testament reçu par feu maître Martin notaire de Caraman dont nous assurons avoir parfaite connaissance comme aussi de la succession de feu notre frère Jean François d’Auriol, officier d’infanterie, décédé… la succession de feu notre sœur Barthémie Gertrude qui pristita pour son héritière Marie Thérèse ci-dessus nommée…

Le tout sous le bon plaisir et conseil de notre mère qui le veut et désire pour éviter toute discussion ce jour et à l’avenir entre nous, avons fait, convenu et arrêté ce qui suit , savoir,

que moi, Joseph de Langautier, je donne à… de mes dites sœurs la somme de 4 000 livres et par… sœur Marie Thérèse la somme de 8 000 livres comme toute héritière de notre feu sœur Barthélémie Gertrude… je leur cède la jouissance de la moitié d’En Baisse située dans le consulat de La Salvetat pour pareilles affaires, dispose le jour de la jouissance seulement au parfait paiement des

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1775 – Testament de Marie de Puybusque

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Au nom de Dieu soit fait ainsi soit-il, l’an 1775 et le 10e jour de janvier après-midi dans la maison principale du domaine de Langautier, consulat d’Auriac, diocèse de Toulouse, sénéchaussée du Lauragais, régnant très chrétien prince Louis XVI, roi de France et de Navarre, par devant nous notaire royal d’Auriac,… les témoins bas-nommés, a été présenté en personne, dame Marie de Puybusque, veuve de feu monsieur Jean-Pierre d’Auriol, sieur de Langautier, habitante au dit domaine, laquelle étant fort avancée en âge, néanmoins libre de son sens, ayant bonne mémoire,… connaissance, voyant parfaitement, parlant, de son bon gré a fait et ordonné son présent testament, qu’elle nous a dicté et que nous avons écrit tout de suite en présence desdits témoins comme s’en suit, et à cet effet et pour marque d’une bonne chrétienne, elle a commencé par le signe de la Sainte Croix et après avoir recommandé son âme à Dieu, le suppliant par le mérite de son cher fils Jésus Christ de lui faire miséricorde ;

a désigné pour le lieu de sa sépulture l’église paroissiale de Saint-Martin et son tombeau le même de son dit feu mari, laissant honneur funèbre, neuvaine et bout de l’an à la discrétion de son héritier universel…

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et venant à la disposition de ses biens, donne et lègue la dame testatrice à MM. Joseph et Hugues Augustin d’Auriol de Langautier et à demoiselle Jeanne Marie, Thérèse, Marianne, Françoise et Henriette d’Auriol de Langautier ses cinq filles, à chacune sa légitime qui pourra le… sur son hérédité après son décès tel que de droit.

Voulant, ladite dame que lesdites demoiselles, Jeanne Marie, Thérèse, Françoise et Henriette d’Auriol jouissent jusqu’à qu’elles soient payées toute de la légitime qui vient de leur être léguée que de celle qui doit leur revenir du chef paternel dudit domaine de Langautier, de la maison ou elle fait sa résidence qui en dépend, de tous les meubles, linges, effets et grains qui s’y trouveront à son décès de la métairie d’En Baysse et de celle de La Calèche avec leurs appartenances et dépendances et telle que ladite dame testatrice en jouit actuellement sans que ladite demoiselle dernière nommée soit obligée de rendre aucun compte de cette jouissance et d’aucune manière qu’il… à qui que ce soit ni d’imputer les fruits qui en proviendraient sur aucune desdites légitimes de toute ladite dame testatrice.

Leur dit pourtant par exprès à quelle somme que ladite fruité puissent monter voulant au contraire ladite dame testatrice qu’elles puissent faire, jouir et disposer desdits fruits à leur grand plaisir et volontés.

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De plus, donne et lègue ladite dame testatrice à monsieur Jean Charles Philibert Antoine Auriol de Saint-Padou et à demoiselle Marie Thérèse Victoire Auriol de Saint-Padou son petit-fils et petite-fille et à chacun d’eux la somme de 3 000 livres qui leur seront payables après sa mort, prohibant la jouissance desdits 6 000 livres audit sieur Joseph d’Auriol père.

Ladite légataire voulant qu’ils en jouissent et disposent à leur gré, plaisirs et volonté et tous et chacun de ses biens, meubles, immeubles,… maison et actions, la dame testatrice à fait et substitue pour son héritier universel et général M. François Marie Joseph d’Auriol de Saint-Padou son autre petit-fils, officier dans le régiment de Jarnac-Dragons pour…lui faire jouir et disposer de ses biens et entière hérédité de ladite dame testatrice à son gré, plaisir et volonté, tant en la vie qu’en la mort.

Duquel présent testament en son entière lecture en ayant été faite à la dame testatrice après avoir entendu ladite lecture a déclaré de suite que son présent testament contient sa dernière volonté et qu’elle veut qu’après son décès, il soit exécuté et… son plein

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Et entier effet, déclarant ladite testatrice que moyennant ce qu’elle peut donner à chacun de ses fils ou petits-fils légataires, elle leur a fait et les institue chacun d’eux ces héritiers particuliers ; tout ci-dessus ayant été fait, lu et relu à ladite dame testatrice en présence de maitre Pierre-Paul Cailhol, avocat et procurer fiscal d’Auriac et de sieur Jean Rouzier, Bourgeois, habitant au dit Auriac.

Soussigné, ladite dame testatrice déclare ne savoir à cause de la faiblesse de sa main occasionnée par sa grande vieillesse, de ce par nous requise Calvet notaire.

Copie du testament de Marie de Puybusque

Ce testament devait être important pour que trois copies de l’époque aient été conservées.

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Conseil d’un ami

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Les enfants mariés ont eu leur légitime : Joseph en 1745, Marie-Anne en 1747

Je n’ai cédé à l’… que faire une estimation en grand des biens délaissés par votre grand-père et autres… dont j’ai été… comme vous le verrez par l’état que je vous ai envoyé auquel il est bon que j’ajoute des réflexions qui me sont transmises… vous trouverez peut-être que les estimations des effets portés bien haut, cela et vous indisposera, ne vous préjudicie en rien, voulant que redonnant les mêmes effets aux prix estimés aux légitimaires, il ne peuvent qu’en être content et il est toujours plus flatteur dans toutes les occasions de paraître riche que pauvre, d’ailleurs, le… il publie à la mort de M.… votre grand-père étant que son bien valait 60 000 livres.

Il a doublé depuis et par l’estimation, il est porté à 123 000 livres, était publié. Mettons-les légitimons à… 4 000 livres au moins, elles en valent actuellement plus du double, tout cela fait… et des conséquences vérifiables.

C’est de ne communiquer ma lettre qu’à des gens d’affaires et d’en bon laisser à vous les conséquences à savoir que je vais en donner que… toute la famille et ignorait si je vous trompe de ne point me compromettre vis-à-vis ceux ou celles qui pourraient avoir des idées différentes.

Vous ne vous répétez pas que chacun ait le… je le crois et vous en conviendrez peut-être que les droits respectifs dont l’apport plus que les biens délaissés.

Je vais y pourvoir par la suite de mon projet auquel pour pourrez essayer de faire accréditer vos autres tantes

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S’il vous convient il est du moins relatif à ce que je crois ai ouï dire que vous êtes charmés de leur laisser la jouissance en appelant qu’il ne vous demande après rien… de mille livres et Henriette vous… trop forte, elle est arbitraire et je ne… faite s’il n’avait… les deux nièces comme… de plus pour faire composition du patrimoine des biens délaissés quand même en outre tu es décidé qu’elles laissent en avoir.

Il importe peu… j’évalue cette somme… ma façon de parler sur ce qui est donné à mettre d’après les évaluations que j’ai faites de tous les biens la somme de 12 000 livres tout au moins… il est assuré et avéré sans que vous… le droit que celles-là ont été privées d’une portion de leur légitime et qu’il est… qu’elles puissent les vendre actuellement… d’après la composition du patrimoine ma façon d’évaluer la métairie d’En Baysse pourrait convenir à Mlle Henriette, Françoise et je crois qu’elle l’accepte.

Dit moi bien de croire même que pour… de pain, elle vous laisse… une rente de 3 000 livres pour laquelle vous n’aurez quand même à prélever de 150 livres de vente. Il… des autres… effets et les meubles évalués 34 000 livres. Je vous dire en attendant ma façon de penser… patrimoines qui se montent à plus de 10 000 livres.

La répétition que même demande de partie dans les intérêts qui augmentent beaucoup cette somme que cependant ces sommes ne vous effrayent, je suis… pour mettre votre tante ne veut point que vous soyez perdant dans cette affaire… un arrangement bon et honnête. Vous ne serez pas perdant mais elle préviennent qu’elles useront des moyens que les lois lui offrent… si toutes les avances ne suffisent pas, votre tante Henriette… les biens de votre grand-père mais cependant j’ai été assez clair pour des estimations que j’ai faites et dont j’ai fait un… qui pourrait… être augmenté.

Durant pour récupérer une somme des héritiers Combes

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Ce 18 mai 1760 après-midi à Langautier, consulat d’Auriac… par nous devant Jacques Sanches notaire royal… en la personne de dame Marie de Puybusque, veuve de noble Jean-Pierre Auriol de Langautier, habitante du présent lieu, laquelle, de grès, a fait et constitué pour son procureur spécial et général d’une qualité ne dérogeant à l’autre, sieur Guillaume Durant, bourgeois de Revel pour et au nom de ledit, dame recevoir et se faire payer 212 livres des héritiers de feu Antoine Combes, notaire royal à Revel.

18 janvier 1773, acte de décès de Marie de Puybusque

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Extrait du registre des actes de l’état civil de la commune d’Auriac, arrondissement de Villefranche, Haute Garonne.

L’an 1773, le 20 du mois de janvier a été enterrée dame Marie de Puybusque, veuve de noble Pierre Auriol de Langautier, morte l’avant-veille, âgée d’environ 90 ans.

M. d’Aurignac, curé d’Albiac, M. Darailh, curé de Loubens signés avec nous.

À la mairie d’Auriac, le 27 août 1872

Projets – états des estimations des biens délaissés à la mort du sieur Langautier

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Sommes dues par M. de Mon… restant dû la somme de la vente de Francarville (1793) 10 000 livres
Biens dans La Salvetat fief et biens dans Auriac, maison, meubles 48 000 livres
Biens dans Loubens lot maison 20 000 livres
Biens de Langautier ( ?) et de Vendine maison 46 000 livres
Biens de Bannières 10 000 livres
Hypothèque de la maison de Puybusque 3 000 livres
De plus… à prélever en reste 3 000 livres
140 000 livres

Bien et effets délaissés par Mme de Langautier († 1776)

Les mêmes comme précédentes 14 400, 3 000 17 400 livres
Bien La Salvetat 48 000 livres
Bien de Bannières 10 000 livres
58 000 livres
75 400 livres
Légitimes à prélever (cinq soit 43 750 livres)
menues dettes (1 000 livres)
43 750 livres
soustraire autre retrait 30 650 livres
reprises demandés évaluées 10 000 livres

Produits nets du restant

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du bien de la mère, légitimes reportées et payées -20 650 livres
Chaque légitime 1 376 livres 9 632 livres
Reste pour l’héritier, avantages et légats 10 800 livres
20 432 livres

Droits de chacune

Légitime du père 8 750 livres
Légitime de la mère 1 376 livres
10 126 livres
Mlle Jeanne – Légitime 19 126 livres, avantage 1 800 livres
Teste en 1788.
11 926 livres
Mlle Thérèse – 2 légitimes du père (celle de Gertrude en plus) 17 500 livres,
légitime de la mère 1 376 livres, avantage reconnu 3 000 livres
Teste en 1790
21 876 livres
Mlle Françoise – légitime du père 10 126 livres, évaluées 5 000 livres
Décès en 1808
15 126 livres
Mlle Henriette – également
Teste en 1808
15 126 livres
64 054 livres
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Je crois… en attendant… le 8 mars 1777… le montant de plus de 10 000 livres font de peu ou de même. Reste la répétition que mettent vos tante de prendre le partie de les intérêts… madame du Falga… que mon oncle avait été livré le matin du jeudi au vendredi… du lit au Falga. Je m’y rends dans ce moment et je ne peux… que trois enterré d’aujourd’hui à cause de cette mort subite, nous savons l’intérêt que vous prenez à ce qui nous regarde et nous avons eu devoir vous faire…

J’ai l’honneur d’être avec sincère attachement

Monsieur, votre très honorable… qui cependant si loin même ne vous effraye pas plus… tante ne veut point que vous soyez perdant dans cette affaire et je puis vous assurer d’avance que vous ne le serez pas et qu’en pensant à elle ne… ni les biens de ses sœurs ni le vôtre mais simplement un bon arrangement et honnête qui la mette à même de n’avoir passé des… et de pourvoir être dans son bien moins

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Les enfants mariés ont eu leur légitime, Joseph en 1745 et Marie Anne en 1747 et sur la même feuille.

Je n’ai pas l’honneur que faire une estimation en grand des biens délaissés par votre grand-père et autres dont pas été usufruit comme vous le verrez par l’état que je vous envoie, auquel il est bon que j’apporte des réflexions.

Vous trouverez peut-être que l’estimation des effets portés bien haut, cela vous indisposera ni ne vous préjudiciera en rien, voulant que redonnant les mêmes effets aux prix estimés aux légitimaires, ils ne peuvent qu’en être content et il est toujours plus flatteur dans toutes les occasions de paraître riche que pauvre. D’ailleurs le… il publie à la mort de M. votre grand-père était que son bien valait 60 000. Il a doublé depuis par l’estimation, il est porté à 123 000 livres… mettons les légitimes à 4 000 livres au moins, elles en valent actuellement plus du double. Tout cela fait… conséquences vérifiables… c’est de ne communiquer ma lettre qu’à des gens d’affaires et d’en bon laisser à vous les conséquences, à savoir que je vais en donner que… toute la famille et ignorait si je vous trompe de ne point me compromettre vis-à-vis de ceux ou celles qui pourraient avoir des idées différentes. Vous ne vous répétez pas que chacun ait le… je le crois et vous conviendrez peut-être que les droits respectifs dont l’apport plus que les biens délaissés.

Je vais y pourvoir par la suite de mon projet auquel vous pourrez essayer de faire accorder vos autres tantes.

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S’il vous convient, il est du moins… à ce que je crois ait ouïe dire que vous êtes charmés de leur laisser la jouissance en apprenant qu’il ne vous demande après rien… 2 000 livres et Henriette… trop forte, elle est arbitraire… fait s’il savait… les deux nièces comme… de plus pour faire composition du patrimoine des biens délaissés… mère, en outre fut décidé qu’elle délaisse en voir il importe peu que j’évalue cette somme à ma façon de parler sur ce qui est donné à mettre d’après les évaluations que j’ai faites de tous les biens la somme de 12 000 livres tout au moins… il est assuré et avéré sans que vous… le droit que celles-là ont été privées d’une portion de leur légitime et qu’il est… qu’elles puissent les vendre actuellement, d’après la composition du patrimoine d’après ma façon d’évaluer la métairie d’En Baysse pourrait convenir à Mlles Henriette, Françoise et je crois qu’elles l’acceptent.

Dis-moi bien de croire même que par… elle vous laisse une rente de 3 000 livres pour laquelle vous n’aurez quand à prélever de 150 de vente.… des autres… effets et meubles évalués à 34 000 livres. Je vais vous dire en attendant ma façon de penser… patrimoine qui se monte à plus de 10 000 livres.

La répétition que même demande de partie des intérêts qui augmenterait beaucoup cette somme que cependant ces sommes ne vous effrayent. Je suis… pour mettre votre tante ne vaut point que vous soyez perdant dans cette affaire.… un arrangement bon et honnête, vous ne serez pas perdant mails elles préviennent qu’elles useront des moyens que les lois leur offrent… si toutes les avances ne suffisent pas, votre tante Henriette… les biens de votre grand-père mais cependant j’ai été assez clair pour les estimations que j’ai faites et dont j’ai fait un… qui pourrait… être augmenté.

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Joseph d’Auriol de Langautier de Saint-Padou j’ai actuellement en vie deux garçons Jean Marie Joseph et Jean Charles Philibert Antoine d’Auriol de Langautier Saint-Padou et la fille Marie Victoire de Langautier Saint-Padou.

Je donne et lègue à chacun desdits… la légitime qui pourra leur compter en corps héréditaire sur les biens de ma succession en laquelle je les faits et institue à un chacun de mes héritiers particuliers et dans le cas ou ma fille ne serait point mariée à l’époque de ma mort au dit, je lui donne et lègue au-dessus de ladite légitime un préciput de la somme de 3 000 livres et en tous mes biens… je fais créer, nomme et institue pour mon héritier général et universel ledit Jean Marie Joseph de Langautier Saint-Padou, mon fils ainé, officier dans le régiment de Jarnac-Dragons pour en jouir après ma mort ainsi qu’il avisera.

C’est ainsi que j’ai fait mon testament que je veux valoir comme tel et codicille… Je révoque et annule tous ceux que j’ai fait ci devant faits… à Toulouse, le 25 novembre 1774.

Acte de souscription… par devant nous notaire et témoins bas nommés… parfait santé nous a présenté papier clos et scellé qu’elle a dit et déclaré renfermer son testament daté d’aujourd’hui… et soit ouvert après son décès par moi notaire soussigné ou autre… sans formalité de justice… maitre Raymond Villar, maître chirurgien et lieutenant de M. le premier chirurgien du roi et de sieur Joseph François Dupuys négociant habitant celle ville.