Marie-Louise Mise à jour août 2020
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Bonne maman, notre entente avait été immédiate, j'appréciais votre simplicité, je vous imagine bien admirer ma jeunesse.

Par la suite nous avons souvent eu l’occasion de bavarder, vous me racontiez votre imprudente traversée de l'Espagne au plus fort de la grippe espagnole et je vous parlais de notre vie à Paris. Nous avons aussi eu assez souvent l’occasion de partager les fonds d’artichauds à votre manière que je ne peux encore manger aujourd’hui sans penser à vous .

La compote de pomme aussi était très bonne, mais peut-être un peu trop sucrée ce qui la relègue en bas de page.

Maintenant, il n'est pas possible d’évoquer votre souvenir sans parler de votre grande facilité à vous emporter. Cela pouvait prendre une forme amusante comme ce soir où rentrant du bridge vous vous êtes retrouvée sans vos clés devant la maison de la rue des Pyrénées. Ce devait être vers 1978 et avec vos 74 années vous êtes passée au-dessus de portail en métal.

C'était encore l’époque où il est entendu que les épouses qui ne travaillaient pas devaient se retrouver l’après-midi pour jouer au bridge.

Cela pouvait être un peu plus embarrassant quand cette énergie incontrôlée se trouvait employée avec une trop grande liberté de parole. Remontons de quelques heures pour revenir au bridge de l’après-midi où vous retrouviez souvent Yvonne Paloque qui se plaignait ensuite de certaines de vos saillies qu’elle jugeait beaucoup trop incisives pour le cercle à qui vous les adressiez. Pour Claude ces foucades vous avaient certainement causé du tort.

Yvonne qui vous avait introduit dans ses cercles amicaux lors de votre arrivée à Toulouse.

Parfois c'était utile, comme dans vos années d’études où vos congénères faisaient grand cas de vos avis sur les questions de mode qu’elles savaient qualifiés et sincères.

Jeunesse en Algérie

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Trois dessins tirés d'un carnet de Marie-Louise

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